lundi 25 février 2008


Aujourd'hui je n'ai pas grand chose à dire. Je pense à cet idiot d'un village de Pologne -je l'ai lu sur www.mariedenazareth.com qui parlait pas mais répétait sans cesse "AVE MARIA". A sa mort une fleur étrangement odorante poussa sur sa tombe. Ave Maria. Ave Maria. Ave, Maria

mercredi 20 février 2008

MARIE DANS LE DESSEIN DE DIEU

Jésus parle de Sa Mère à Maria Valtorta

…Yahvé m'a possédée au commencement de ses voies,
avant ses œuvres les plus anciennes.
J'ai été fondée dès l'éternité,
dès le commencement, avant l'origine de la terre.
Il n'y avait point d'abîme quand je fus enfantée,
point de sources chargées d'eaux.
Avant que les montagnes fussent affermies,
avant les collines, j'étais enfantée.
lorsqu'il n'avait encore fait ni la terre, ni les plaines,
ni les premiers éléments de la poussière du globe.
Lorsqu'il disposa les cieux, j'étais là,
lorsqu'il traça un cercle à la surface de l'abîme,
lorsqu'il affermit les nuages en haut
et lorsqu'il dompta les sources de l'abîme,
lorsqu'il fixa sa limite à la mer,
pour que les eaux n'en franchissent pas les bords,
lorsqu'il posa les fondements de la terre.
J'étais à l'œuvre auprès de lui
et jouant sans cesse en sa présence,
jouant sur le globe de la terre,
[et trouvant mes délices parmi les enfants des hommes
Et maintenant, mes fils, écoutez-moi :
heureux ceux qui gardent mes voies !
Heureux l'homme qui m'écoute,
qui veille chaque jour à mes portes,
et qui en garde les montants/
Car celui qui me trouve a trouvé la vie,
mais celui qui m'offense blesse son âme
tous ceux qui me haïssent aiment la mort
(Prov. VIII 22-35).]

Vous avez appliqué ces paroles à la Sagesse, mais elles parlent d'Elle : la Mère toute belle, toute sainte, la Vierge Mère de la Sagesse que Je suis personnellement, Moi, qui te parle. J'ai voulu que tu écrives le premier vers de cet hymne en tête du livre qui parle d'Elle.


Pour qu'on reconnaisse et que l'on sache qu'Elle est la consolation et la joie de Dieu, la raison de la constante, parfaite, intime joie de ce Dieu Un et Trine qui vous gouverne et vous aime et à qui l'homme a donné tant de motifs de tristesse, la raison pour laquelle Il a perpétué la race humaine alors qu'à la première épreuve elle méritait la destruction, la raison du pardon que vous avez obtenu.

Avoir Marie pour en être aimé. Oh ! cela valait bien la peine de créer l'homme, de le laisser vivre, de décréter qu'il serait par- donné, pour avoir la Vierge belle, la Vierge sainte, la Vierge immaculée, la Vierge possédée par l'amour, la Fille bien-aimée, la Mère toute pure, l'Épouse aimante ! Dieu vous a donné et vous aurait encore donné davantage pour posséder la Créature qui fait ses délices, le Soleil de son soleil, la Fleur de son jardin.

Et Il continue à vous donner tellement par Elle, sur ses demandes, pour sa joie, parce que sa joie va se confondre avec la joie de Dieu et l'augmente des lueurs qui font étinceler la lumière, la grande lumière du Paradis, et toute étincelle est une grâce pour l'univers; pour la race humaine, pour les bienheureux eux-mêmes, qui répondent dans un cri étincelant d'alléluia pour tout miracle de Dieu, créé par le désir du Dieu Trine de voir l'étincelant sourire de joie de la Vierge.

extrait de L'Evangile tel qu'il m'a été révélé, www.mariavaltorta.org

jeudi 14 février 2008

LA FOI A LA RAISON

Lorsqu'agitant mes pieds, tu les meurtris ainsi
Lorsque tu me combats, qu'y gagne ton audace?
Quand tu lèves tes bras infâmes vers ma face
Deviens-tu moins diffuse, et moi plus sombre, dis?

Ta main profane frappe et ta voix me maudit:
Ma clarté s'en avive, mais toi, tu perds en grâce.
Défaite, tu rugis, me railles, fulmines, menaces
En vain. Et malgré toi mon domaine grandit.

Car je possède ailleurs d'éternelles assises;
Et si tu me servais, soudain docile, soumise,
Tu verrais mon royaume qui échappe à ta sphère.

Je réserve à ton front, s'il s'inclinait pieux,
Tout le trésor sacré d'ineffable lumière
Qui définit la Terre et montre au cœur les CIEUX.

Castille Castillac
Paris, 1988

vendredi 8 février 2008

LA MERE DU MESSIE, JESUS-CHRIST, ANNONCEE DANS L'ANCIEN TESTAMENT

Les livres de l'Ancien Testament décrivent l'histoire du salut, où lentement se prépara la venue du Christ dans le monde. Ces documents des premiers âges, selon l'intelligence qu'en a l'Église à la lumière de la révélation parfaite qui devait suivre, mettent peu à peu en une lumière toujours plus claire la figure d'une femme: la Mère du Rédempteur.

C'est elle qu'on devine déjà prophétiquement présentée sons cette lumière dans la promesse, qui est faite à nos premiers parents tombés dans le péché, de la victoire sur le serpent (cf. Gen. 3, 15). Pareillement, c'est elle, la Vierge qui concevra et mettra au monde un Fils dont le nom sera Emmanuel (cf. Is. 7, 14; cf. Mich. 5, 2-3; Mt. 1, 22-23).

Elle est au premier rang de ces humbles et de ces pauvres du Seigneur qui attendent le salut avec confiance, et reçoivent de lui le salut.

Et enfin, avec elle, fille sublime de Sion, après la longue attente de la promesse, les temps s'accomplissent et une nouvelle économie s'instaure lorsque le Fils de Dieu prend d'elle la nature humaine pour libérer l'homme du péché par les mystères de sa chair.

Lumen Gentium Chaptire VIII §4
Concile Vatican II

source www.mariedenazareth.com

jeudi 7 février 2008

SE MEFIER D'UNE CERTAINE IDEE DE L'ECOLOGIE

7.237

Jésus, Jean et Manaën

…………..Les animaux et les plantes et tout ce que le Créateur a créé pour l'utilité de l'homme représentent donc un don d'amour et un patrimoine donné en garde par le Père à ses fils, afin qu'ils en usent dans leur intérêt et avec gratitude envers Celui qui a donné toute providence. Il faut donc les aimer et les traiter avec un soin convenable.

Que diriez-vous d'un fils auquel le père a donné des vêtements, des meubles, de l'argent, des champs, des maisons, en lui disant : "Je te les donne pour toi et pour tes descendants pour que vous ayez de quoi être heureux. Usez de tout cela avec amour en souvenir de mon amour qui vous le donne", et si ensuite ils laissaient tout tomber en ruines ou dilapidaient tous ses biens ? Vous diriez qu'ils n'ont pas fait honneur à leur père et qu'ils n'ont pas aimé leur père et ses dons. Pareillement l'homme doit avoir soin de ce que Dieu, avec un soin providentiel, a mis à sa disposition.

Soin ne veut pas dire idolâtrie, ni affection déréglée pour les bêtes ou les plantes, ou quelque autre chose. Soin veut dire sentiment de pitié et de reconnaissance pour les choses de moindre importance qui nous servent et qui ont leur vie, c'est-à-dire leur sensibilité…………..

source http://www.maria-valtorta.org/

Testing

Quand revient le vent de l'automne
Je pense à tout le temps perdu
Je n'ai fait de mal à personne
Je n'ai pas fait de bien non plus.
Et j'ai le coeur gros....